Billets d'Humeur/Humour

10 mars 22

Ca y est, il est parti « Au diable la varice ! » m’avait-il dit avant d’entamer ce saut, toujours sportif ..…alerte! Perte d’équilibre, plongeon, ainsi choit il. Sursaut ; ouf je rêvais.
Pas le style à se faire porter pâle pour un bobo alors qu’un bobo a plus de peur que de mâle.
Non, toujours là, j’espère encore pour un moment.86 ans, en bon soldat, il a répondu présent pour les 3 doses comme pour le service militaire, autre génération.
Plus chaotique que catholique, ma vie file, ni dieu ni paître, pas de devises mais des convictions qui évoluent en même temps que mon corps., maintenant un esprit fin dans un corsé.
A chaque âge suffit sa peine, maintenant sa veine, toujours accepter son sort avant la récompense du paradis, plutôt se préparer au nouveau paradigme ou ……..Qui l’ukraine ?
je préfère être en joie plutôt qu’enjoint

16 février 22
Nouvelles d’ici.
Encore moi, certains pensaient que j’étais en manque d’inspiration, avec l’actualité c’est plutôt l’inverse. Mais je préfère être plus léger en cette période de merde.
J’étais assis au soleil, tranquille comme Maurice, oui, en Creuse ce n’est pas Baptiste, c’est Maurice.
En face une belle blonde, certainement timide, elle n’osait pas me regarder, mais je voyais que je l’intéressais.
Vous savez, genre, celle qui fait semblant de ne pas vous avoir remarquer, je me dis, toi tu ne vas pas me la faire à l’envers, j’ai de l’expérience pour amadouer les plus rebelles. Quoi ? je ne force pas, je propose, j’inspire, enfin j’aime le penser et c’est ma maman qui le dit.
Je pose un regard insistant sur sa croupe, elle s’en rend compte mais rien ne transpire, c’est une coquine, elle veut jouer, moi aussi, vais-je réussir à conquérir cette jolie demoiselle ? Je fus cavaleur, cavalier maintenant plutôt calvados, mais j’ai de bon reste.
Aller je me lance,  » bonjour, Eric j’arrive du Var, je suis votre nouveau voisin  » elle me fixe sans rien dire. J’enchaine les banalités du mec qui avance à petit pas.
J’avais déjà rencontré sous d’autres contrées des demoiselles aussi charmantes mais je ne voulais pas la brusquer.
« Pourriez vous m’aider, je n’aimerai ne pas faire d’impairs, je ne connais pas les us et coutumes locales, je veux démarrer une fluide et sereine relation de voisinage »
Elle fait un demi-tour rapide et s’éloigne, sans un regard. J’ai perdu mon charme d’antan.
« Tu parles aux vaches » me dit Catherine. Merde je suis découvert, voilà pourquoi la belle s’en est allée, mon honneur est soif. « C’est l’heure de l’apéro ? »

16 février 22

Nos heures creuses sont bien remplies. On emménage sans ménagement, vide les cartons qui ont l’odeur d’un passé révolu, mais toujours présent, mon dos me rappelle à l’ordre, il n’a pas aimé le congélateur.
Un corps errant n’est pas à l’abri de mouvements incohérents, me dit un corpsmorant.
Les assiettes creuses se gorgent de plats des campagnes qui viennent se glisser dans ma dent creuse.
Le long de ses verts pâturages, le bocage nous libère de nos blocages. Elles sont là, me regardent, ici il y a plus de limousines que d’habitants, les ruminantes me rappellent mon passé calédonien, retour à la source.
Retour à l’essentiel, sans rien attendre de l’essence, ciel.
Près de la cuisinière à bois, la cuisinière aboie, « bon çà creuse, tu viens manger !»
Je quitte donc mon azerty, un homme azerty en vaut deux.

17 décembre 21

Ça sent le renfermé ici, c’est vrai que le n’ai pas ouvert depuis un moment, j’ai préféré m’aérer la tête. D’ailleurs est ce en se la creusant qu’on crée des trous de mémoire ?
J’ai entendu un trou du cul à qui on venait de passer un savon, dire « ça va chier des bulles. Pour ma part quand on me casse les bonbons ça part en sucette. Pour le reste, je respecte les gestes barrière, je m’en lave les mains….

18 août 21

Le samedi, j’entends différents slogans dans la manif dont « liberté, liberté »
La liberté n’est-elle pas toujours conditionnelle ?
Dès la naissance ne sommes-nous pas toujours subordonnés à quelque chose, à quelqu’un, etc. ?
La liberté n’est-elle pas qu’une illusion, une des quêtes de notre Ego, parmi celles : du pouvoir, de l’amour, l’immortalité, la réalisation de soi, etc. ?
Cette notion de liberté n’est-elle pas aussi liée à une culture, un pays, une éducation, également à l’époque, les événements, notre vision « personnelle », etc.
Je crois plus en l’être qui se libère, qu’à l’être libre, l’être acteur, qui se place comme premier intervenant à sa « libéraction ».
Offrez-moi la liberté de me tromper.
Nous ne sommes pas non plus en « démocraChine », mais c’est une autre histoire.

8 août 21

Ne pas se voiler la face, cette vaccination n’est pas la liberté, juste une cour de promenade de la prison, où nous nous sommes enfermés avec les clefs.
Que sommes-nous prêts à lâcher, pas à lécher ?
Ce n’est pas le gouvernement qu’il faut changer, c’est notre discernement, le reste suivra.
Tombé du sac à souvenirs
Récalcitrant 2005 après jc
« Téléchargé dès le biberon, les logiciels des valeurs et principes pensés par d’autres, font partie de notre mémoire c’est à eux que nous allons faire appel pour analyser une situation.
Même si plus tard nous augmentons la capacité de notre « mémoire vive » par le savoir, l’expérience, les nouvelles informations qui nous semblent toutes personnelles, ne seront téléchargées que si le logiciel sait les lire, donc compatibles avec les valeurs et principes, elles peuvent être aussi considérées comme un virus et être combattues.
Heureusement pour nous l’homme n’est pas une machine, il a une âme, « un cœur », qui peut modifier tout c’est logiciel, ses puissances : la foi, l’éveil.
La foi pas celle des religions, celle en la vie, aux autres, en soi.
J’avais banni de mon vocabulaire le mot convaincu, je pensais m’enfermer dans un dogme, jusqu’au jour où je me suis rendu compte que rien ne m’empêcher de changer d’avis, nos vérités ne sont-elles pas vivantes, ne changent-elles pas en même temps que nous. »

8 aout 21

« Robert D’acier, l’homme de fer, avait parait-il une femme en or, bla bla………. »
Merde, qui parle ? j’ouvre les yeux, personne.
« L’homme à tout faire, bricolait la femme de ménage qui aspirait à autre chose, « Aller du balai, je n’en ai rien ciré » elle passait l’éponge sur son présent et s’en lavait les mains… »
Ça recommence, c’est qui ? c’est clair, des pensées discutent derrière mon sommeil…
« C’était une ancienne fille de joie, née d’un père turbateur et d’une mère ginale , partie à l’aventure avec un garçon de café noir, fraichement débarqué de sansunfric…….. »
Là, il y en a marre de vos conneries, j’aimerai rêver tranquille, vos jeux de mots sont nuls
A partir de maintenant, les pensées sans pass salutaire seront refoulées, c’est moi le chef.

Plutôt Mix Chill que Milk Shake, déjà ce lait à la maternelle je n’en voulais pas.
Je ne suis pas un veau rien ne m’obligera.

4 août 21

J’étais en train de « rider » sur ma nouvelle monture, quand cette locution me revint à l’esprit.
« Verba volant, scripta manent » les paroles s’envolent, les écrits restent.
J’ai entendu prononcer cette phrase, il y a très longtemps par le sénateur Caius Couillus au Sénat romain, (je suis une veille âme, comme je suis con, je me réincarne, il n’y a pas que les ongles)
A l’époque, on ne pouvait pas enregistrer, maintenant, si, mais visiblement beaucoup de français font l’autruches.
La locution originelle laisse aussi à penser que parfois il est mieux de ne pas laisser des traces écrites de ce qui pourrait un jour se retourner contre soi.
Eh bien, je m’en fous, au contraire, je laisserai une trace ailleurs que dans le fond de mon calcif, calbar, cal fouette………
Vous connaissez bien sur les expressions : « Il faut de tout pour faire un monde », « la nature est bien faite »
Il y en a quand même qui sont nés pour faire chier le monde, et d’autres pour en chier dans ce monde, choisis ton camp camarade ou créer un nouveau monde.

3 juillet 21

Attention çà peut être chiant à lire,comme d’hab ne lisez pas, mettez directement un like
Extrait de mon journal d’enfant que je n’ai pas écrit à cette époque
Nous sommes le 15 avril 68, nous étions passés voir mon père à l’usine, il participait à un piquet de grève depuis 12 jours, ils occupaient l’usine, La Thomson Houston, ce conflit dura 8 semaines au niveau national.
Il travaillait à l’émail, l’unité fabriquait du fil électrique, les boulangers sentent le pain, mon père c’était le cuivre. J’aimais cette forte odeur car ça voulait dire qu’il était à la maison.
Ils jouaient au foot dans la cour, il y avait une buvette, un BBQ, ils étaient nombreux 70% du personnel ouvrier tous syndicats confondus à tenir le siège.
J’ai appris aujourd’hui une première chose.
-Les mecs avaient des couilles, ils acceptaient une perte de salaire de 20%, pour des convictions, ils étaient grévistes par solidarité.
Une voiture noire avec chauffeur arriva dans l’usine, c’était une Ford Vedette, à bord le directeur.
La voiture se gara, un homme de noir vêtu jusqu’au chapeau en descendit et se dirigea vers les ouvriers. Il serra des mains, échangea des sourires, tout en gardant son charisme naturel, il m’impressionnait.
J’étais surpris de voir des grévistes plaisantés avec leur patron, j’eus la réponse de mon père plus tard. C’était aussi le président du club de foot de la ville.
Mon père me dit qu’il gérait les deux « en bon père de famille ».
deuxième chose
-A cette époque chacun avait des devoirs les uns envers les autres, c’était 2 mondes qui pouvaient se parler malgré la différence de naissance.
Il faut vivre avec son temps parait-il, à cette époque, il y avait plusieurs catégories sociales:
-l’aristocratie financière.
-la bourgeoisie industrielle.
-la bourgeoisie commerçante.
-la petite bourgeoisie.
-la paysannerie.
-le prolétariat.
-le sous-prolétariat.
Maintenant il nous reste :
-Ceux qui ont le pognon et les pouvoirs
-Et nous
Bonne route……….
Mon journal sera édité chez « ons’enbatlescouilles » dans la collection « Cause toujours »

2 juillet 21

Pas de vague à l’âme, mais dans ma tête une vague alarme qui se fait entendre annonçant l’arrivée d’une vague à larmes, un « tu nous l’a mis » qui va nous submerger.
Les vaccins, le masque, les gestes barrières ne protégeront personnes, tout le monde boira la tasse. Les femmes et les enfants d’abord ………..
Plus léger
Un nain compris que s’il devenait un nain gras, il ne sera plus un nain valide. C’est donc nain porte quoi de se goinfrer de sucre, Candi tu ?

04 Juin 21

Après une intervention de 4 jours, pas chirurgicale mais sur une classe transplantée (c’est le terme) de gamins de CE2, les souvenirs remontent.
L’odeur du crayon qu’on taille, celle de l’alcool des polycopies, de l’encre au bout des doigts, des portes manteaux, etc.
Quand je suis entré à l’école, elle était comme moi, primaire, puis ensuite au CP ce fût l’élémentaire, mon cher Watson.
Après, au collège, lycée, il y avait la prof de français à qui il ne fallait pas raconter d’histoire, celle d’histoire où tu ne devais pas ramener ta science, celle de science où t’en perdais ton latin, avec celui de sport c’était physique.
L’art plastique était enseigné par le prof de dessin, et elle en avait, et les montrait à dessein.
Le CPE s’appelait encore surveillant général, quand tu le voyais arriver, tu avais peur (te chiais dessus en français dans le texte) maintenant c’est eux.
Il faut vivre avec son temps, mais comment oublier le goût d’une naïveté perdue.
Je me rappelle le temps où les chiens s’appelaient tous Médor, Mirza, Rex, Youki, Lassie.
Où, on me parlait de gens inconnus de moi mais connus de tous, Bidule, Chose, Duchmolle, Ducon, Dugenoux, Dugland, Dushnock, Machintruc, Untel, Tartempion qui habitaient à Tataouine, Tombouctou, Trifouilly ou Perpètes les oies.
Il faut ne pas attendre le 36 du mois, la semaine des 4 jeudis ou la saint glinglin pour garder son âme d’enfant même dans un corps de grand.
Merci les gosses, demain est une autre histoire.

Un vague sein ou un vaccin ?
Je broyais du noir, à non, merde on peut plus dire çà.
J’étais en transit dans la salle des pas perdus, du coup, je me suis égaré.
Je vois un téléphone, je décroche.
« Que puis-je faire pour vous ? » Me dit une voix synthétique féminine.

16 mai 21

« Je me suis perdu « répondis je spontanément.
 » Où êtes-vous ? »
Elle est conne ou quoi ?
« Si je savais où je suis, je ne vous dirais pas, je suis perdu !  » celle du gps au moins elle me dit où je dois aller.
 » Comment puis-je vous aider ? « 
Merde, c’est Virginie l’assistante Free, c’est la même voix, raccroche Eric, elle ne peut rien pour toi tu le sais.
Quand on est perdu, il faut retourner au dernier point connu m’a dit un militaire que j’ai perdu de vue depuis qu’il est retourné vers ce point, le point de non-retour certainement pour ce soldat inconnu.
J’suis con, j’ai mon portable. Pas de réseau, c’est ce que je disais à Virginie, c’est quand on est perdu qu’il nous faut du réseau.
J’aimerai être un acteur de films d’action, les mecs, ils ont un téléphone qui marche partout, ils achètent un portable pré payé, ils appellent directement leurs contacts sans les importer, pas de visas pour prendre l’avion, pas de permis international, ils connaissent la route dans toutes les capitales, etc. Virginie, Virginie, Virginie…..
La lumière s’allume, « c’est qui cette Virginie « me dit Catherine que j’ai réveillée.
La suite vous la connaissez les gars, j’en profites pour aller pisser avant d’aller sur ma tablette pour vous y retrouver vers 3h00, une nouvelle « assomme nuit ». A tout à l’heure

9 mai 21

J’ai besoin de vous le dire, sans obligation de me lire.
Avant l’heure ce n’est pas l’heure, mais quand tu vois la lumière blanche, la dame en noire n’est pas loin.
Pierrot, Pascal, Patrick, Tonio, René, et les autres ont maintenant un regard sur l’existence que nous ne possédons pas.
Leurs retours d’expériences, nous rappellent la nécessité de vivre pleinement le moment présent.
Il y a la naissance, la vie et la mort. Tout peut nous être repris en un instant.
Une chose est sûre, ils m’ont appris que quel que soit la durée de cette vie, il faut sans ordre d’importance :
-Ne pas renoncer à être soi parmi les autres
-Aller au bout de ses ressentis, envies, …
-La valeur de l’amour qu’on nous porte
-Que c’est dans l’adversité qu’on rencontre ses vrais amis, mais qu’on arrive à supporter cette réalité sans agressivité.
-……..
N’oublions pas de dire aux uns qu’on les aime, aux autres qu’ils nous importent peu, que l’essentiel est d’être vrai, sincère avec nous-même et notre entourage, savoir apprécier ce qui nous est offert.
Je brode, je rode on the road………

22 avril21

J’ai été là entrain de pédaler, pas dans la semoule, j’en chiais comme un russe, çà a sans doute un truc à voir avec les montagnes du même nom ? en tous les cas, çà grimpe.
J’entendais un couinement se rapprocher, je jette un œil dans mon rétro, rien, normal, je suis en vélo pas en moto, Eric t’es con, çà je le savais déjà.
Le mec chantait en pédalant, je l’entendais, je ne comprenais pas encore mais ça n’allait pas tarder. Il doit avoir une assistance électrique ce n’est pas possible.
« Quand on partait de bon matin Quand on partait sur les chemins, À bicyclette … » Là, c’est clair, il se fout de ma gueule « Nous étions quelques bons copains, Y avait Fernand, y avait Firmin… »
Non, il double l’enfoiré, le frère Jacques, l’Hermite de St Quinis en soutane, avec un vélo de l’après-guerre. « Ça va Zag ? »  » C’est une blague comment vous faites pour monter aussi vite ?  » « Attends, mon fils c’est mon 2é tour, tu m’aurais vu au 1er » « Ce n’est pas possible ! vous mentez ! « 
« Mets-toi dans ma roue et chante avec moi, c’est l’assistance ecclésiastique » Putain ça marche, « Et puis Paulette On était tous amoureux d’elle, On se sentait pousser des ailes, À bicyclette……… »
Je change de braquet, je double, le regarde, heureux, il sourit, je prends ,5,10 mètres, « Ne te retourne pas, ton passé est toujours là, c’est devant que ça se passe » me dit il.
Trop tard, je tape un rocher, toujours les mains sur le guidon, je sens le sol me percuter, coup de boule par terre, j’ai mal, pour tant j’ai un casque……… »Lâches moi, j’ai mal  » la voix de Catherine.
Nous étions sous la table de salon, je lui tenais les chevilles, je m’étais endormi en lui caressant les pieds

11 avril 21
Il y a les anciens combattants à la retraite, maintenant les nouveaux, combattus, mais il n’y a toujours pas assez de cons battant en retraite. Non ?
Depuis que je suis né, j’en ai vu des cons, des petits, des gros, des grands, etc. qui nous rendent malade, mais toujours pas de vaccins. Mais que font les labos ? Ils ne trouvent pas de rats assez cons pour tester ?
Les cons servent-ils à alimenter les banques, à vivre en cons citoyens, sans cœurs et sans reproche.
Les cons potes nourrissent encore nos repas clan « destin assumé », de contestataires qui ne complotent pas.
Mais, au fait, un petit aux cheveux longs qui renseigne la police est un indic à tifs ?

3 avril 21

Avant d’enfourcher mon vtt, je pédale sur mon azerty. Un homme azerty en vaut deux, qwerty aussi.
Je n’ai rien contre les parisiens, les pharisiens non plus, plutôt aux phrasiriens.
C’est vrai quoi, ils n’y sont pour rien si on leurs offre 4 jours pour aller dans leurs maisons de campagne ou se réfugier chez des proches, contaminer les départements qui les accueillent afin de désengorger les hôpitaux de l’ile de France.
Mais pour les mecs de Gonesse, Sarcelles, etc. « les gueux, sans dents », rien n’est prévu ?
Je ne condamne pas. C’est pourtant, cela même qui me jugent quand je dis que je ne veux pas me faire vacciner, que je ne comprends pas les mesures prises, etc.
Je ne suis pas médecin, pas trop con non plus, mais quand j’suis malade je reste chez moi.
J’ai appris çà enfant. A cette époque, pas besoin d’un confinement imposé, nos parents connaissaient les gestes barrières, ils ne nous envoyaient pas à l’école, pas le droit de sortir, isolement dans les chambres, supos, sirops, aspirine, vitamines C…… thermomètre dans le cul trois fois par jours.
Je ne souffre pas en cette période compliquée, je suis privilégié.
Je n’ai pas d’enfants à charges, mes parents et proches sont en bonne santé, quasi retraite, je n’ai pas de besoins impérieux d’aller aux restos, au cinéma, m’acheter des fringues, j’habite à la campagne entourée de gens qui respectent les autres sans être masquer en permanence.
Je compatis tout de même pour ceux qui subissent professionnellement, socialement, émotionnellement, médicalement.
Que sommes-nous prêt à lâcher sans se chier dessus ?
Faut-il toujours attendre des autres les solutions ?

28 mars 21

Je n’aime pas le changement d’heure
Le conformisme fonctionnait du temps des hommes préhistoriques, car c’était nécessaire pour survivre ensemble. Aujourd’hui apriori on a plus besoin de survivre ?
L’humain est grégaire mais ce n’est pas une raison pour oublier son libre arbitre, même le poisson ne gobe pas tout.
« La peur n’est qu’une une émotion ressentie généralement dans la perspective d’un danger. » C’est-à-dire d’une situation comportant « la possibilité » d’un inconvénient ou d’un mal qui nous affecterait.
La situation que nous vivons est un tremplin pour changer notre façon de penser donc de vivre, faisons appel à notre créativité. Chaque problème génère une opportunité.

18 mars 21

« Au début j’avais faim, à la fin j’avais bu » me disait un ami pochetron sorti d’un jeûne à jeun.
Ben moi « j’avais soif après, j’avais pu un rond et j’étais sou » lui répondu son pote de zingue.
« Boire et rire il faut choisir, je prends les deux, le premier avec prudence, le deuxième à fond »

9 mars 21

L’expression « Tu feras ce que tu veux, quand tu seras majeur et vacciné » que j’ai pu entendre maintes fois dans ma jeunesse, était tombée aux oubliettes, mais c’est de nouveau d’actualité.
Je pensais que mon adolescence était derrière moi, vais-je de nouveau faire de l’acné, repasser mon permis ?

28 février21

C’est culturel !
« Voler c’est voler, revendre, c’est gagner » me disait Paco, comme quoi tout est une question de culture.
La culture, l’orthographe, « en français, vous changez une lettre et çà veut plus dire la même chose » me disait un médecin COVID roumain en renfort.
« Un vaccin est une préparation biologique administrée à un organisme vivant, afin d’y stimuler son système immunitaire, alors qu’un vagin est un organisme vivant à qui on administre une préparation biologique, afin d’y stimuler son système ovulaire … »
Tout dépend où tu es né, en Asie, tu népalais, dans une mare, nénuphar, en Egypte Néferpipi…..
Je crois en la réincarnation, mon côté féminin et ma perpétuelle envie de pisser depuis que je suis petit, me fait penser que je suis la réincarnation de Néferpipi .
A une certaine époque, ils ont voulu m’embaucher à Fort Brégançon, avec le pseudo de « pisse partout », en duo avec « porte clef » le nain qui occupait le lieu, le boulanger du fort aurai joué le rôle du père « Fougasse ».
Un nain qui attend est un nain patient ? un petit gourou est un nain qu’on prit ?..
Il parait, qu’on a tous une âme sœur, les bourriques des « Anes sœurs », pour l’heure je m’entoure de frères d’âme.

7 février 21

Je discutais avec un pote qui boite qui boit ;
« Peut-on se décharger en prenant une charge ? »me dit ‘il .
Super j’en ai un à moi, je vais tout lui envoyer d’un coup.
Est-ce qu’être en hypothal’anus, ce dit d’un gay qui est en manque ?
Apporter du piment à la vie, donne le feu au cul ?
Dit-on à un enfant nain « tu verras quand tu seras grand ? »
Est-ce qu’un obèse peut arriver à ses fins ?
Est-ce qu’un maigre peut être lourd ?
Est-ce qu’aider un hêtre peut porter ses fruits ?
Qui dort dine, mais est ce que le sourd dine ?
« Top, top, t’as gagné, j’abandonne, je ne peux pas être plus saoulé, je vais faire une crise d’éricleptie »

faut que çà sorte sinon j’ai des vertiges!

3 février 21

J’étais assis dans le jardin de mes pensées et non pas sur les pensées de mon jardin, quand une mouche à merde se posa sur mon bras ;
« Ça vaut de l’or d’avoir des nerfs d’acier pour couler un bronze sous un soleil de plomb »me dit-elle ?
« En ces taons difficiles, peut-on se péter la ruche quand on a le bourdon pendant une lune de miel ? » lui répondis je dardar.
Même si elles sont utiles ce n’est pas une raison pour venir me chatouiller.
C’est vrai, ces mouches n’ont pas de chance, elles naissent dans la merde, bouffent de la merde, imaginez l’odeur quand elles rotent ou pètent.
Cà me fait penser, vaut-il mieux un pessimiste qu’un pet sinistre ?

1 février 21

Blague à part, les chattes parlent
« Quand vous parlez de la connerie humaine, on comprend ce que veut dire « intelligence artificielle » me disait Jacquie (notre chatte) quand nous étions affalés comme deux grosses merdes sur le canapé.
 » Pourquoi tu dis ça ? « 
« Ben, il parait, que les décisions prises pour endiguer cette pandémie sont prises par des gens, sains de corps et d’esprit, qui agissent en leur âme et conscience.
« Ah, tu crois ? »lui dis-je en me les grattant.
« C’est ce qu’ils disent aux infos »
« A bon, je croyais que tu ne regardais que télé à chats ! « 
« Elle est pourrit ta blague ! »
« Blague à part, réservée aux chattes emi cantare Con la chitarra in mano »
« La chatte te dit, té tare cono d’érico »

25 janvier 21

Nous parlions avec un copain de nos études.
« J’ai fait G1, 3 garçons pour 25 filles » me dit-il.
« G s’8, su été moins intéressant » lui dis-je blagueur.
Pour ma part j’ai commencé F3, 1 fille, 29 garçons, trouvez l’erreur ? Non ce n’est pas la fille. C’est moi.
Dominique n’était pas une bombe de lycée, mais en parlant pyrotechnique, elle avait quand même un bon pétard et 2 gros obus, elle a dû faire retailler son bleu, les filles à l’atelier c’était rare. Elle était sympa mais bon, quand t’as 14 ans ce n’est pas vraiment ce que tu cherches. Son choix d’orientation n’était pas con, quand t’as pas tous les atouts de ton coté, sur les 29 trous du cul, t’en as bien 1 ou 2 qui va oser te mettre la main au cul, même plus.
La durée des récrés était vraiment trop courtes, la cour trop grande, les filles trop nombreuses. Pourquoi doit-on faire la primaire et le collège alors qu’on pourrait passer direct au lycée, quel temps perdu.
En chasse en cours, il n’y a pas de meute pour débusquer la belle, ma stratégie était très simple. J’étais prêt à me prendre des râteaux, pour rouler des pelles, les filles ne risquaient rien, c’est elles qui décidaient.
J’étais jeune, mais avec un peu d’expérience, j’ai fait les colonies de vacances, puis camps d’ados, avant çà j’avais déjà joué au docteur. J’avais appris déjà que rester en embuscade çà servait à rien, les filles voulaient autant que nous, il fallait juste observer, tu ne risquais pas grand-chose si tu connaissais les signaux. Les grandes lignes, ……………
Je n’ai pas pu suivre une scolarité normale arrivait au lycée, trop de tentations, choir ou séduire, il fallait choisir.

15 janvier 21

Un flic végétalien peut-il être convoqué chez les bœufs carotte ?
Les végétaliens ça ne manifestent pas, ils ne peuvent pas s’en prendre aux poulets.
« C’est un décret de polichinelle, ce couvre-feu! »
« Attention aux manifestations » me confie un végétarien au magasin me voyant agacé.
« Si je ramène ma fraise, je peux me ramasser une prune, une grenade, me prendre un coup sur la poire, une châtaigne et un marron, je finis le dos en compote et je pars en déconfiture ». « Tu peux te prendre une amande »me dit mon avocat.
« De toute façon c’est toujours pour ma pomme. Cà me prend le melon quand on me presse comme un citron, du coup je n’ai pas la pèche. » Putain il est grave lui, me dis-je.
Continuant nos courses………plus de fromage, pour le gruyère c’est râpé, pour le jambon, on tranche encore on ne sait pas. Des pommes de terre en robe de chambre sur un lit de poireaux…aller, avec du canard, pour une bonne ambiance au repas. On ne s’engueule jamais à table, le canard conflit ce n’est pas notre truc.

13 janvier 21

La vie à la ferme
Un veau ruminait dans son foin, il regardait le taureau qui avait été pris en vache. Il suait comme un bœuf se remettant de sa mésaventure.
« J’en ai marre » me dit un canard, qui marchait au pas de l’oie, le héron est tout en jambe, le coq en pâte, la poule au pot, le dindon de la garce, et moi j’ai toujours le cul dans la merde. Tout ça pour finir bon gré magret, dans une gamelle. »
Hier c’était un l’ours mal léché, qui se plaignait, on avait vendu sa peau avant de l’avoir tuer, c’est vrai qu’en hiver c’est déconné quand même.
Je dis ça, je ne dis rien……

12 janvier 21

Je n’aime pas la pêche, je reviens toujours grenouille avec des yeux de merlan frit.
Remercions les poissons chats, il n’y a pas de souris dans l’eau.
J’ai ouïe dire par un poisson perroquet (les autres sont muets) qu’il faut être marteau pour s’approcher d’un requin scie.
La baleine à bosse devrait s’appeler une drobaleine, non ?
Je dis çà je dis rien……

10 janvier 21

Peut-on faire des mises à jour la nuit ?
Quand le jour est las, pourquoi c’est la nuit qui tombe ?
Plus le temps passe et moins le temps lasse.
Peut-on mettre au gout du jour un travail de nuit ?
Pas comme le train, le temps qui passe est toujours à l’heure.
Oui, vous n’êtes pas protégé de mes conneries, je vous ai foutu un virus Malvoyant.

9 janvier 21

Avec le couvre-feu, j’ai attrapé le verre solidaire. On se déplace en version voyageur de commerce petit sac, trousse de toilette, slip propre, sac à viande etc. Notre canapé peut enfin se transformer en mode couchette. En fait, ce qui fait le plus chier c’est d’être pris pour des cons.

2 janvier 21

Mes grandes résolutions ; ne rien faire qui me ferait chier, m’éloigner des gens qui font chier, , chier sur les résolutions de ceux qui font chier…En fait, rien de nouveau pour 2021……….Bonne année.
La prise de conscience n’entraine pas de prise de poids, mais si vous avez un poids sur la conscience, vous pouvez vous en débarrasser par une prise de conscience. (C’est vous qui voyez).

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